La liberté de manifestation est un pilier essentiel de toute société démocratique. Elle permet aux citoyens d’exprimer leurs opinions, de se rassembler pacifiquement et de revendiquer leurs droits.
Cependant, dans un pays comme la RDC, où les transitions politiques ont été tumultueuses et où les droits de l’homme ont souvent été bafoués, la constitutionnalisation de ce droit soulève des questions complexes.
Nous analyserons les implications juridiques, politiques et sociales de la constitutionnalisation de la liberté de manifestation en RDC.
Comment les révisions constitutionnelles ont-elles modifié la protection de ce droit ?
Quelles sont les limites et quels sont les défis auxquels sont confrontés les manifestants ? Et comment ces développements ont-ils façonné l’État de droit dans le pays ?
Cette étude vise à éclairer les chercheurs, les décideurs politiques et les défenseurs des droits de l’homme sur les enjeux liés à la liberté de manifestation en RDC.
Nous espérons que cette analyse contribuera à une meilleure compréhension des dynamiques constitutionnelles et à la promotion d’un État de droit solide dans le pays.
Les libertés publiques sont censées inspirer la vie sociale et politique en République Démocratique du Congo, cela signifie que l’éducation des droits de l’homme devrait être ou faire partie des priorités, ce qui revient à dire que la construction par les élèves, apprenants et enseignants, des connaissances théoriques et pratiques relatives aux droits humains et à ce qu’ils impliquent dans la vie quotidienne et dans les institutions du pays devraient constituer l’axe privilégié et obligatoire du système éducatif à tous les niveaux.
De ce fait, nous allons le démontrer dans notre travail que les libertés publiques demeurent l’apanage des uns au détriment des autres. Dès lors, leur réalisation est rendue impossible par cette fragilité politique.
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